mardi 30 août 2016

LA PEUR DU NOIR, UN EX TUEUR DE LA CIA & UN ACTION SANS VÉRITÉ. ♡



Cette semaine a été bien chargée en séances de ciné. Un bon film (et limite faire un crédit pour un Seven Up et un paquet de M&M's) dans une salle climatisée n'était pas de refus dans cette période caniculaire. En attendant les sorties de la rentrée, la reprise des cours, on finit l'été avec de l'horreur, un Matt Damon bien en muscles et un jeu pour les ados en mal de frissons.



JASON BOURNE de Paul Greengrass.



9 ans après le dernier volet, c'est un euphémisme de dire que ce nouvel opus était attendu. Et on est pas du tout déçu. Cette saga est devenue une valeur sûre pour passer un bon moment en salles. Des explosions, des cascades, un Jason Bourne très en forme sont au rendez vous pour le plus grand plaisir des fans. Le danger des réseaux sociaux, la surveillance gouvernementale et des informations partagées sur le web, est présente, non pas sans nous rappeler les thématiques actuelles de la protection de la vie privée sur internet (Coucou le petit clin d'oeil à Snowden). Un blockbuster qui finit très bien l'été et qui donne envie de revoir les films précédents pour rassembler toutes les pièces du puzzle avec toutes les réponses apportées par ce quatrième volet. Alicia Vikander et son visage de poupon parfait confirme son talent à côté d'un Tommy Lee Jones qui aurait besoin d'un bon lifting. Cherchez pas, Jason Bourne c'est le Michael Myers de l'espionnage, increvable ce mec.


DANS LE NOIR de David F. Sandberg



J'ai de nouveau peur d'éteindre la lumière. Quelques années après le court métrage qui a fait flipper le peuple de l'internet, on retrouve ici un film d'horreur avec certes des lacunes, mais de l'intelligence et une vraie proposition. Si la présence de James Wan se fait sentir dans les influences du réalisateur, c'est loin d'être un mauvais point. Là où la déception est au rendez vous dans le cinéma de genre, Lights Out devient une lumière au sein des films proposés depuis janvier. Jouer sur la peur du noir, là où l'imagination de tous devient infinie, peut être classique, mais dès la scène d'ouverture nous sommes plongés dans une angoisse semblable à celle du court métrage.

(Par contre, gros coup de gueule pour l'ambiance dans la salle. Insultes, cris, jets de pop corn. Un peu de respect pour les fans du genre, qui ont envie de savourer leur film en silence.)


NERVE de Henry Joost et Ariel Schulman.



La bonne surprise de cet fin d'été. Je suis allée voir ce film sans vraiment d'attente, et c'est une réussite. Voyeur ou joueur, deux possibilités, New York est devenu le terrain de jeu d'internautes en mal de frissons, poussant à l'extrême certains défis. Il peut être difficile pour les films à concept de tenir sur la durée d'un long métrage, mais en apportant le côte malsain et voyeur des réseaux sociaux, notre exhibition quotidienne, et la quête de célébrité des ados en mal de popularité sur ces derniers, le divertissement n'est pas sans intelligence. Un mélange des genres qui n'est pas déplaisant, avec de la romance, du thriller. C'est rythmé et une mise en scène cool nous fait passer un bon moment dans les salles obscures.


Je suis bien curieuse de savoir ce que vous avez vu au cinéma dernièrement, en attendant je vous souhaite une bonne journée! ♡



3 commentaires:

  1. Wow Nerve ca a l'air vraiment pas mal! Puis Dave Franco <3

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    1. Il est vraiment cool! Tu me diras ce que tu en as pensé <3

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  2. This is so inspiring! I love the post:)

    irenethayer.com

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